Mon histoire informatique

Mon histoire informatique

En ces temps de confinement, j’ai eu l’envie de vous conter mon histoire avec l’informatique.

Déjà tout petit, alors que j’étais encore à l’école primaire, mes jeux étaient le plus souvent les indémodables Playmobil ou Lego mais j’avais l’occasion de jouer aux jeux électroniques dit Game&Watch que possédaient certains de mes copains. Ma grand-mère m’en offrit un que je me fis voler lors d’une classe verte avec mon école.

Mais c’est lorsque je fus en CM1 que j’ai approché pour la première fois l’informatique. Á l’époque, un programme (plan informatique pour tous) fut mis en place et permettait à l’école de disposer d’un « ordinateur » Thomson MO5 ou Thomson TO7/70 pour les classes de CM1 et CM2. Cette merveilleuse machine a immédiatement attiré ma curiosité et éveillé l’envie de créer des trucs dessus. Oui bon, à l’époque, créer des trucs c’était juste faire des dessins grâce au crayon optique. Branché sur une télévision, l’appareil n’était pas très puissant et ne permettait pas grand-chose. Les programmes étaient stockés sur des cassettes audios et il fallait des plombes pour les charger, mais déjà quelques petits jeux rudimentaires étaient disponibles. C’était le début de mon histoire.

Deux ans plus tard, mon père, qui a avait repris un garage automobile, acquit une machine pour gérer sa comptabilité. Mais par manque de temps pour se former à son utilisation, il n’en fit jamais rien et cet achat fut une erreur, bien que celle-ci lui eut coûté très cher. Je ne me souviens même pas de son modèle, mais elle était branchée à notre petite TV couleur qu’il avait acheté en même temps pour remplacer la vieille TV noir et blanc au style très 70 que nous avions. J’essayais de m’en servir mais, à vrai dire, je ne savais pas vraiment quoi faire avec.

Parallèlement à ça, je suis devenu super pote avec le fils du cafetier du village, un certain « Pilou.  Je passais mon temps chez lui, profitant du baby-foot, des bornes d’arcade et des flippers qui s’y trouvaient. C’est là que mon attirance pour les jeux vidéo se mit en place.

C’est à cette époque que je fis la connaissance d’un copain qui me proposa pour pas trop cher un lot composé d’un Philipps Videopac et d’une vingtaine de jeux sur cartouches. Tout mon argent gagné grâce aux pourboires de la station-service que mes parents tenaient à l’entrée de Toulouse avant de déménager dans ce garage automobile de Castelmaurou y passa.

Malheureusement, l’aventure du garage automobile de mon père tourna court et nous avons déménagé une fois de plus pour nous installer à l’Union où, mon frère et moi, ne connaissions personne mais allions vite nous trouver des copains de quartier. Parmi eux, un certain « Titi », bien plus vieux que moi mais qui faisait des études en bureautique et qui possédait un ordinateur chez lui. Pour l’anecdote, lui c’était « Titi » et moi c’était « Titou » car nous nous appelions tous les deux Thierry.

Titi fut mon « mentor » pendant au moins 1 an, et je passais le plus clair de mon temps libre chez lui, surtout lors de soirées interminables pendant lesquelles je l’observais souvent sans rien dire, subjugué que je fus par les connaissances qu’il possédait. L’observation et les questions dont je l’assenais au fur et à mesure m’amenèrent à lui demander de me donner des cours un peu structurés qui me permirent d’apprendre tant de choses.

Mes parents n’ayant pas les moyens, je n’osais pas leur demander de m’acheter un ordinateur qui, à l’époque, coûtaient l’équivalent d’un SMIC et demi pour le plus petit modèle. Pour gagner un peu d’argent, j’ai alors décidé de travailler dès que je le pouvais avec mon oncle qui réparait des palettes. Cela me permit de m’acheter ma première mobylette et de posséder un petit apport pour l’achat futur de l’ordinateur. N’étant pas très inspiré par l’école, mes résultats étaient moyens, mais j’arrivais malgré tout à convaincre mes parents de m’aider à financer cet achat pour lequel ils s’interrogeaient sur l’avenir et l’intérêt. Mais ils ont quand même souscrit un petit crédit que j’ai remboursé en travaillant aux palettes pendant mes vacances.

Á cette époque, les magasins d’informatique fleurissaient un peu partout à Toulouse et particulièrement Avenue Saint Michel où on en comptait un tous les 50 mètres. Je choisis alors de faire mon achat chez Micro Diffusion, concurrent direct de PC Warehouse qui se trouvait en face mais bien trop cher pour moi.

J’étais donc désormais l’heureux propriétaire d’un PC XT 8088 (chinois) équipé d’un processeur Intel 8088 à 4,77mhz qui lorsqu’on appuyait sur le bouton Turbo culminait à 10mhz, de 640ko de RAM (oui, 640ko) et d’un lecteur de disquette souple 360ko, un truc de dingue ! Il était aussi constitué d’un petit écran monochrome ambré de 14 pouces de type Hercule qui me pétait les yeux et d’un boitier moche de chez moche. Mais moi je m’en moquais , j’étais fier et j’allais pouvoir apprendre.

Ok, j’avais un PC mais… Il n’y avait rien dedans ?! Aucun logiciel, pas de système, nada ! Heureusement mon pote Titi avait tout plein de trucs de ouf à me donner. D’abord, le système MS-Dos 3.20 de Microsoft, puis un tableur de Microsoft très loin mais alors très très loin d’Excel qui s’appelait Multiplan et avec lequel je choppais des ampoules à force de saisir les codes ASCII qui permettaient de tracer les cadres des cellules. Aussi Word qui ressemblait à Multiplan et qui demandait une certaine dextérité pour mettre en forme le texte. Et enfin des jeux qui ne faisaient même pas des « bips » car les PC n’avaient pas de son. Là on atteignait des sommets d’optimisation dont les développeurs d’aujourd’hui devraient s’inspirer. Parce qu’avec les limites très vite atteintes du matériel il fallait économiser les ressources pour gagner un peu de RAM ici et là et faire en sorte que les temps de chargement soient moins longs. C’était la grande bataille à coups de modification de CONFIG.SYS et d’AUTOEXEC.BAT les 2 fichiers les plus stratégiques.

 

Je commençais aussi un peu de GW Basic mais je m’aperçus vite que je n’étais pas fait pour la programmation. Je fis alors le choix de me concentrer sur le système et le matériel. Je me suis donc très vite procuré un second lecteur de disquette 360ko, puis un lecteur 3,5 pouces pour des disquettes rigides moins fragiles de 720ko. J’ai aussi remplacé un lecteur 360ko par un 1,2mo et enfin le 720ko par un 1,44mo. Mais tout ça coûtait un fric dingue et je profitais des bons plans de Titi et de ses copains qui évoluaient dans le milieu.

Les supports disquettes étant un peu plus volumineux, les jeux étaient de plus en plus évolués aussi mais le son manque toujours. Je me suis donc mis en chasse de ma première carte son, une Adlib 8bits qui s’avéra un peu limitée et que j’ai remplacé par une Sound Blaster 16 bits qui était considérée comme la référence sur PC pendant de nombreuses années. Et voilà les jeux faisaient du son… Enfin des bruits quoi !

Maintenant que j’avais du son, pour en profiter au mieux, rien de tel qu’un lecteur de CDROM qui me servit aussi de CD audio. Mais bien trop cher, je jetais alors mon dévolu sur un disque dur lui aussi hors de prix, et Titi me procura un disque dur Seagate de 10mo au format MFM. Associé à un contrôleur RLL, il me permit de gagner 50% d’espace, soit d’arriver à 15mo… Gigantesque et formidablement lourd car le truc pesait au moins 3 kilos ! Mon premier lecteur de CD fut un TOSHIBA XM-3401B, le plus rapide des 1X du marché à l’époque. Celui-ci me coûta la bagatelle de presque 1000 francs et il me fallut acheter un contrôleur SCSI pour le faire fonctionner. Je choisis alors un contrôleur Future Domain moins cher, mais qui fut finalement un mauvais choix et je le remplaçais par un Adaptec 1510 lorsque je fis l’acquisition de mon premier scanner.

Mais le temps passe passa et mon vieil XT 8088 eut atteint ses limites. Je passai donc à l’étage supérieur avec un PC AT 80286 à 16mhz et 4mo de mémoire. Mon écran fut remplacé par un moniteur EGA 16 couleurs de 14 pouces et je récupérai les éléments recyclables de mon vieil XT. Les barrettes mémoires de type SIP remplaçaient les chips mémoires du début mais leur prix est était excessif, donc je suis resté avec mes 4mo qui me permettaient déjà plus de choses.

Puis est arrivé le passage au 80386sx16 qui fut un choix économique plus qu’intelligent car dépourvu de coprocesseur arithmétique ce processeur s’avéra lent et contraignant. Je l’ai donc très vite par un 80386DX40 auquel j’ai adjoint un disque dur de 40mo et une carte graphique VGA Vesa local bus Trident.

Il faut dire que c’est à ce moment-là que naissaient toutes les sociétés éditrices de jeux vidéo comme Guillemot, Sierra, Activision, Blizzard, etc. Et les graphismes étaient de plus en plus poussés, d’autant que sur le marché apparaissaient les premières consoles de jeux telles que la NES et la SNES de NINTENDO, la Megadrive de SEGA et la console ultime proche de l’arcade : la célèbre NEO-GEO.

De mon côté, je n’étais pas attiré par les consoles car on ne pouvait rien modifier dessus. Je me laissais donc tenter par une autre machine que j’ai eu l’occasion d’essayer chez un pote : un AMIGA 500 de commodore, presque comme un PC mais dédié à la musique, à la création graphique et aux jeux. C’était un univers parallèle doté d’autres possibilités et disposant d’un interface graphique évolué : le Workbench. Mais comme on ne peut pas jouer sur tous les tableaux je délaissai cette machine après quelques temps. Le 520STF d’Atari presque identique était  la machine de référence pour la musique mais je n’ai jamais eu l’occasion d’en avoir un.

Entre temps, Microsoft sortit la première mouture de Windows stable : la version 3.11 pour Workgroup, qui permit de mettre en œuvre les bases du réseau local. On n’était pas encore sur du TCP/IP mais en NWlink ou en NetBEUI qui étaient des topologies utilisées jusqu’à l’arrivée d’internet, imposant le TCP/IP. Ces protocoles étaient simples à configurer et permettaient de connaitre les joies des premiers jeux en réseau local comme QUAKE de Id Software ou encore Moto Racer de Delphine Software.

Pour jouer dans les meilleures conditions il devint impératif de disposer d’une carte vidéo performante comme la Matrox Mystique utilisant des API Direct3D ou la non moins célèbre 3DFX de Voodoo Graphics nécessitant une carte vidéo de base en plus car celle-ci utilisait un moteur Glide particulier. La 3dfx apporta un énorme gain sur le rendu 3D.

 

Mais le temps passe et tout s’accéléra. Les processeurs, la mémoire, les disques durs, l’affichage, etc. changèrent. De plus, les consoles nouvelle génération arrivèrent, comme la célèbre Playstation ou PsOne de SONY, la Saturn de SEGA, et quelques autres moins répandues comme la 3DO par exemple. Les PC ne servaient plus seulement à jouer mais à créer. S’en suivront plus tard les SONY Playstation 2 et la fameuse Dreamcast de SEGA, la Nintendo GAMECUBE et enfin la XBOX de Microsoft.

De fait, avec l’évolution, les supports de processeurs changèrent et, avec eux, le format de la mémoire et les slots d’extension pour les cartes additionnelles changèrent également. Et je change, je rechange encore et encore… Et j’apprends.

Pour l’histoire, je suis passé du 80386DX40 au 80486SX16 puis au 80486DX33 puis au 80486DX2-66 et enfin au 80486DX4-100, version ultime du 486. Les fréquences de bus, les multiplicateurs, les tensions, l’overclocking me permettaient de faire tourner mon DX4-100 à 120mhz .

Depuis 1991 je travaillais parce que l’école ne me permettait pas de faire ce que je voulais (enfin si j’avais mieux travaillé à l’école j’aurais eu un autre parcours). Je me suis donc arrêté à un petit BEP de comptabilité pendant lequel j’ai appris mais surtout dispensé mes connaissances en informatique à mes camarades. Mais afin de pouvoir avoir un pied dans l’informatique je continuais vers un Bac Pro bureautique (pour suivre la trace de mon copain Titi qui de son côté avait enchainé avec une formation de 2 ans à l’ISTEF de Ramonville et trouvé un emploi chez MEDIATEC, l’un des plus gros prestataires informatiques de la région), je me disais alors que c’était un chemin possible.

Malheureusement, la comptabilité prenant trop de place dans cette formation, j’abandonnais à la fin de mon stage de première année pour être embauché comme magasinier dans l’entreprise où j’ai effectué ce dernier. J’y ai rencontré celle qui est devenue ma femme avec qui j’ai vécu 23 ans de bonheur. Mais cette entreprise fit faillite et j’ai alors eu l’opportunité de suivre une formation d’un an à l’AFPA de Castres, à l’issue de laquelle j’ai effectué un stage chez MEDIATEC (d’où Titi était parti, et c’est à partir ce moment-là que nos chemins se sont définitivement séparés).

Pendant cette formation, j’ai appris encore de nombreuses choses sur le matériel, les principes électroniques, l’assembleur et c’est durant cette période que les choses se sont accélérées encore.

Intel sortit le Pentium, processeur d’une puissance incroyable mais dont les premiers modèles Pentium 60 mal conçus chauffaient et n’étaient finalement guère plus avantageux que les DX4-100. Mais Intel n’était plus seul sur le marché, et d’autres fondeurs comme AMD et Cyrix proposèrent des processeurs semblables et compatibles avec les supports prévus pour les Pentium. N’ayant pas trop de moyens, je me suis tourné vers un Cyrix 6x86MX-233 qui s’est avéré bien mou.

Ces processeurs utilisaient de la mémoire de type EDO qui fut sera remplacée par de la mémoire SDRAM à l’apparition du Pentium 2.  Je récupérai un Pentium 90 avec lequel je fis mes premières armes sur Windows 95 car Microsoft avait frappé un grand coup avec l’apparition de ce système qui révolutionna l’utilisation du PC. L’interface était beau, fonctionnel et la gestion du réseau simplifiée, surtout avec l’apparition du protocole TCP/IP et le début d’internet.

Mon stage chez MEDIATEC déboucha sur une embauche au SAV de l’agence de Blagnac où mon responsable direct Daniel m’apprit bon nombre de choses sur les imprimantes, et surtout sur une méthodologie de dépannage que j’utilise encore aujourd’hui. Je lui dois beaucoup ! Il me forma aussi sur les procédures des différents constructeurs et avec « Maître Didier » (spécialiste COMPAQ de la hotline maison) je poussai encore mes connaissances jusqu’à devenir une certaine référence en interne.

Pendant cette période, je suis passé au Pentium 2 qui utilisait un support Slot One novateur, qu’AMD copia plus ou moins avec le support du K7 ou Athlon.

 

Ces supports se révélèrent contraignant avec des faux contacts, des températures excessives et ils furent remplacés par de nouveaux sockets lors du passage au Pentium 3 (qui exista dans les 2 versions Socket 370 et Slot 1), et à l’Athlon XP. Cyrix disparu, les M2 n’ayant pas marqué les esprits par leurs performances.

La mémoire qui accompagnait ces processeurs évolua aussi et la SDRAM laissa place à la DDR et à la RDRAM de RAMBUS à l’arrivée des premiers Pentium 4 sur socket 423. Ce fut une catastrophe pour Intel et qui permit à AMD de profiter de ce moment pour envahir le marché avec ses modèles Athlon XP bien moins chers. Intel corrigea vite le tir en modifiant l’architecture du P4 et en proposant un autre support le socket 478.

Mon histoire fut marquée à cette époque par l’arrivée au sein de MEDIATEC de mon collègue Fabien. Tarnais comme moi, nous sommes devenus vite assez complices car, comme moi, c’était un geek, mais certes plus jeune, nonchalant, un peu rebelle aussi et avec ce truc qui faisait qu’on se comprenait. Fabien intervenait comme moi sur le matériel du SAV et alors que nous devions faire procéder à l’échange sous garantie d’un processeur Intel Celeron 300 d’une machine IBM, nous recevions un processeur Pentium 4 2,66ghz dans un emballage de Celeron 300. Persuadés qu’il s’agissait d’une erreur de packaging d’IBM, nous recommandions la même référence et le lendemain nous recevions à nouveau un P4 2.66ghz. Fabien me regarda alors et je compris qu’il voulait profiter de cette erreur pour passer au P4 que nous ne pouvions ni lui ni moi nous payer. Je me suis donc procuré des Celeron 300 par d’autres moyens (le forum de Hardware.fr) afin de renvoyer des Celeron à IBM, qui de plus nous rétribua pour la prestation et conserver les P4.

Galvanisé par l’entourloupe que nous venions de réaliser, nous foncions à la boutique d’informatique la plus proche pour nous procurer chacun une carte mère adaptée à ce nouveau processeur. Ce fut une Gigabyte pour moi et une ASUS pour lui.

Avec le SAV, nous récupérions pas mal de matériel plus ou moins obsolète mais nous décidions un jour de réaliser un projet commun en fabricant chacun notre propre borne d’arcade dans mon garage avec des morceaux de PC de récup. On était comme des gamins et cela reste un souvenir inoubliable. J’ai d’ailleurs toujours cette borne d’arcade que j’améliore régulièrement.

Puis nous avons acheté ensemble une carte vidéo moderne et performante : la Geforce Ti4200, car, avec la démocratisation d’internet, les jeux en ligne et en solo demandaient de plus en plus de performances.

Malheureusement Fabien décéda dans son sommeil quelques années plus tard à 32 ans et je pense à lui très souvent.

MEDIATEC est ensuite devenu SYSTEMAT. Les marchés changèrent et le virage fut difficile pour l’entreprise dans laquelle je suis resté 15 ans, passant du SAV au déploiement, puis à la gestion du service, remplaçant ça et là les techniciens et parfois les IS. J’y animais aussi des sessions de formation pour de futur techniciens. Je fus mis au placard quelques temps pour avoir été rebelle envers ma direction, mais jusqu’au bout je suis resté, intégré à la Hotline quand le service maintenance fut fermé. Cette entreprise m’aura permis de rebondir grâce à tout ce que j’y ai appris. Je pense aujourd’hui à tous mes collègues Sandrine, Régis, Christophe, Tonio, Christine, Laurie, JB, Didier, Carlos, et surtout Alex mon maxi pote !

Voilà, c’est ce parcours qui m’amena a à créer Le PC Déglingué. J’ai voulu faire de l’informatique mon métier. Ce fut chaotique, semé d’embuches, mais finalement la volonté, l’acharnement, et le hasard un peu aussi ont fait que depuis 10 ans je continue à apprendre chaque jour et à vivre de ma passion.

Le matériel, les systèmes, les réseaux, Internet, les consoles de jeux, la téléphonie, tout ça bouge sans cesse et les usages avec eux également. Chaque jour j’apprends en m’appuyant sur ce parcours et en imaginant ce qui pourra se passer demain.

PS : Oui c’est vrai, je n’ai pas parlé d’Apple… Ben, c’est qu’en fait, à l’époque, Daniel m’avait fait une démo magistrale sur un Apple Macintosh Se et sur un Powermac et je n’avais pas aimé la machine. N’en ayant pas eu personnellement pendant tout ce parcours, je n’avais pas d’anecdote à ce sujet. Mais depuis la création du PC Déglingué, j’ai aussi développé cet aspect pour le Mac Patraque.

Vous vous demandez pourquoi Le PC Déglingué ? Et bien cela vient de 2 choses : la première est la chanson de Gaston Ouvrard « Je ne suis pas bien portant » qui fut reprise parodiquement par Chanson Plus Bifluorée « L’informatique », et la seconde le groupe de punk/rock « La souris Déglinguée » que mon pote Titi écoutait en boucle.

…… si le confinement dure, je reviendrai pour de nouvelles anecdotes !

 

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